Projet réalisé à Clamart dans la catégorie murs porteurs
L’une de nos réalisations s’est déroulée à Clamart. Il s’agit d’une ouverture mur-porteur (plus précisément, d’un mur de refend central) dans le rez-de-chaussée d’un bâtiment. Faisant partie des travaux que nos ingénieurs BET y ont menés est la réalisation d’un portique métallique. Or, comme tous travaux, des étapes et des normes de construction se doivent d’être respectées :
Comment avons-nous procéder
La protection de chantier est la première chose à faire. Cela se fait au moyen d’une bâche accompagnée d’un panneau isorel. Ensuite, les étaiements sont façonnés et préparés de façon à ce qu’ils puissent se poser verticalement de part et d’autre de la future ouverture. Il faut procéder à la création d’une ouverture dans le mur-porteur, et donc casser un mur-porteur. Vu sa superficie (8 m²à), nous avons recours à une tronçonneuse électrique et une machine spéciale. En même temps, l’évacuation des gravats est menée.
En guise d’appui au poteau métallique, une semelle en béton armé est installée. Elle est de dimension 15x15x30. Le poteau vertical quant à lui, est de type HEA 140 mm. Il est installé au moyen de soudure et de boulonnage. Pour cela, nous utilisons également des tiges filetées (l’unede type 2×1 et l’autre de type 8×16) ainsi qu’une cheville SPIT.TRIGA M20.
Vient ensuite la mise en place de la poutre HEB 200 mm de longueur 400 cm. Or, son scellement se fait avec un ciment rapide dans le but d’obtenir des ouvrages résistants. Mais pour un résultat plus sûr, les cales métalliques et les mortiers sans retrait ne sont pas à omettre. Aussi, il y a la platine d’épaisseur 10 mm, les soudures et les boulonnages.
Enfin, nous procédons à la réalisation de coffrage coupe-feu aux plaques de plâtre Placoflam. Pour une bonne finition, une peinture antirouille transparente ne serait pas de refus, notamment pour les structures en métal. Le chantier peut alors être nettoyé.
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