Renforçant le soutènement d’une fondation, le mur porteur maintient sa structure et garantit sa solidité. À défaut de précautions, tout acte impactant le mur porteur peut ainsi fragiliser la construction. En effet, loin d’être une opération bénigne, l’ouverture d’un mur porteur relève du savoir-faire de vrais techniciens.
Sollicités sur le terrain, nous venons en aide aux particuliers contraints de démolir le mur porteur dans leur projet de rénovation. Prêts à vous livrer leurs conseils, nos experts sont à même de vous guider dans les étapes d’exécution des travaux.
En nous confiant son projet, un résident de Nanterre a pu optimiser l’agencement intérieur de son habitation. Afin d’agrandir l’espace, il fallait démolir un mur en parpaing. Pour réaliser le chantier, nous avons respecté deux étapes préalables. L’objectif étant de sécuriser le chantier et de maintenir la structure durant l’abattage du mur porteur.
Ainsi, l’équipe a pris soin de protéger toute la zone d’intervention. Le sol et les espaces communs étaient recouverts d’une bâche autocollante spéciale. Quant aux meubles et aux fenêtres, une bâche plastique a servi de couverture de protection.
Par la suite, nous avons mis en place un dispositif de soutènement de plancher composé d’étais et de bastaings en bois afin de supporter la fondation durant l’opération de démolition. Ces précautions faites, l’équipe a procédé à l’ouverture du mur porteur à l’aide d’une tronçonneuse électrique et l’outil diamant, un équipement réservé à cette tâche.
Une fois cette mission accomplie, nous avons nettoyé les lieux en prenant soin d’enlever les débris de béton et les gravats sur le sol. L’étape suivante était de procéder au renforcement métallique de la structure afin de bien répartir les charges. Nous avons opté pour la méthode la plus sûre. Sur ce point, notre client a décidé de ne pas faire appel à un bureau d’études techniques, mais de confier le travail à notre équipe.
Pour ce faire, nous avons installé une poutre sur deux poteaux de type UPE 160. D’abord, nous nous sommes assurés que ces deux piliers soient bien fixés. À propos, des tiges filetées et des chevilles chimiques ont permis d’immobiliser les deux colonnes situées sur les des deux côtés de l’ouverture. En guise de renfort, des semelles en mortier sans retrait ont été mises en place pour compenser les charges.
Vient ensuite l’installation d’une poutre de type HEA160. Cet élément de la nouvelle structure adhère aux poteaux grâce à des platines en acier. Grâce à la méthode de soudure et de boulonnage, nous sommes parvenus à leur fixation. Enfin, la pose de peinture antirouille vient parfaire le travail en servant de couche de protection de la structure métallique. Après avoir terminé la peinture et le nettoyage des lieux, notre client a pu découvrir le résultat final et ainsi se rendre compte de l’intérêt de notre intervention.
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